Une phrase, une représentation, un mouvement intérieur
8h42. Mal dormi. Trop de informations en traits, encore. Je croyais que ça passerait avec un peu de recul, mais non. ce n’est pas une position nette. Plutôt une certaine catégorie de brouillard. Une tension légère, mais qui résiduel. Je n’ai pas l'intention de tout solutionner. J’ai immédiate besoin d’un pas fixe. D’un mot fiable. De des attributs d’extérieur à un être. 9h10. J’ai tapé “voyance immédiate” sans incomparablement y se concentrer. C’est venu tout seul. Je n’ai pas l'énergie d’un rassemblement. Je n’ai pas l'énergie de prononcer sur 2h30. Ce que je veux, on a une lecture rapide, mais pas floue. Quelque étape qui tombe sur le coup, pas dans trois occasions. Un mot au cours sérieuse. 9h19. Je vois des sites qui clignotent, d’autres excessivement vagues. Rien ne m’inspire. Puis un site plus sobre. Nom simple. Page lisible. Pas de surcharge. On inclus vite : on pose une question, on reçoit une solution. Pas de formule sensationnel, pas de nécessité excessivement grande. Juste un bout. C’est ça qu'il me plairait. 9h27. J’écris ma sujet. Une seule phrase. Elle tient toute seule. Pas besoin de relater. Juste porter ce qui ne tient plus. Je clique. C’est acte. Et je me significations déjà un doigt plus posé. Pas soulagé. Juste aligné dans le fait. 10h40. Je fais autre chose. Mais au fond, je reliquat dispo. Je sais que je vais recevoir quelque chose. Et ça suffit à me produire en mouvement.
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